J'ai pris ma décision [Jacob]

Deux futurs, deux âmes sœur ... C'est bien trop pour une seule personne

Ce matin en me levant, une étrange détermination avait pris possession de moi. J’avais pris ma décision. Comme ça, en une nuit. D’accord on dit que la nuit porte conseil, mais j’avais du mal à imaginer qu’il y a plusieurs jours la décision paraissait si difficile, et aujourd’hui elle avait l’air tellement évidente. Exceptionnellement, je pris la peine de me préparer un peu mieux que ce que je faisais d’habitude. Vu le temps qu’il faisait dehors, je supposais que ce n’était pas vraiment la peine, mais tant pis. A peine levé, je me précipitais dans la salle de bain que Charlie et moi partagions. Il était encore tôt, et je n’avais pas cours aujourd’hui. Aucune personne normal ne se lève a six heures du matin quand elle peut rester au lit jusqu’à pas d’heure, mais je n’ai toutefois jamais prétendu être normal. Je pris donc une douche, laissant longtemps l’eau chaude coulait sur moi, pour être sûre d’avoir les idées claires, de ne pas me tromper. Puis, je démêlais mes cheveux, sans les sécher, pour qu’ils ondulent naturellement sur mes épaules. Je descendis dans la cuisine afin de prendre mon petit déjeuner. Mais je n’arrivais pas a avaler plus qu’un verre de jus d’orange tant j’étais exciter. Bon d’accord, j’allais briser un cœur aujourd’hui, mais le mien serait enfin réparer. Je posais mon verre sur l’évier, et remonter dans ma chambre pour m’habiller. T-shirt a manche longue simple, rayé bleu et noir, jean et converse. Comme toujours quoi. Très vite, je descendis, sans prendre la peine de prendre ma veste, et je montais dans ma voiture.

La question maintenant est de savoir où je vais ? Et bien tant pis pour ceux qui ne seront pas content, mais c’est chez Jacob que je garais ma voiture environ une demi heure plus tard. Et maintenant ? Il avait refusé de me parler jusqu’à présent, pourquoi changerait il d’avis maintenant. Je regardais ma montre, il n’était que sept heure. La pluie tombait à grosse gouttes. Et c’est là que je le vis. Jacob, mon Jacob, pas loin de la maison, dos a moi. Je sortis de la voiture, m’avançant doucement car le sol était glissant, c’est bien connu les maladroits n’aime pas les terrains glissants. Il fallait que je lui parle, même si il n’avait pas envie de m’écouter. Quand je fus assez près de lui, je me lançais avant de me dégonfler.

BELLA : JACOB … JE SUIS DÉSOLER ! JE SUIS VENU M’EXCUSER ! ET JE SUIS VENU TE DIRE QUE J’AI PRIS MA DÉCISION …

Une journée de plus au compteur. Une journée de plus ou le ciel gris me rappelait que j'existais, et au combien je n'avais pas envie d'affronter ce jour, après cette nuit si courte, seul. J'en ai l'habitude à présent. Mais puisqu'il fallait le faire, après 30 minutes de préparation psychologique : Je décidai enfin à me lever. Je me dirigiais donc nonchalament vers la salle de bain et prit une bonne douche froide pour me réveiller. Après avoir ébourrifé mes cheveux et enfilé un short, je ne savais pas exactement quoi faire... Billy était au salon et regardait la télévision alors que les autres, Embry et Quil m'attendaient à 10m de chez moi.

Et j'avoue ne pas avoir la réelle envie de les fréquenter aujourd'hui. Car il est vrai que, aussi rarement que cela arrive : je ne suis pas de ma plus belle humeur. Bon, je préfére m'exiler seul dans le garage quelques minutes, en manipulant de vieux outils avec une musique douce. Mon karma avait apparemment décidé de me contrarié car, justement, c'était une chanson d'amour qui passait à la radio. Je l'éteins immédiatement, et me mis à penser, à penser à elle. Mais, comme à chaques fois, lui, Edward, me revenait à l'esprit, et ce n'est plus un secret : Je jalouse ce buveur de sang. Mais après tout, Bella est surement plus heureuse avec lui, qui n'est sans doute pas entrain de triturer de vieux outils rouillés.

Bon, s'en est assez de me morfondre, je décide de rejoindre Quil et Embry pour me changer les idées. Après quelques minutes passées avec eux, le soleil commence à faire son apparition. J'entend un bruit. Un bruit de pas. De plus en plus fort. Je me retourne et... Je la vois. Une seconde en sa présence me suffit pour me rappeler à quelle point elle est belle. Et a quelle point je suis friand de son odeur, de sa démarche... d'elle. Dans toute sa spontanéité, comme d'habitude elle baffouille quelques mots : " JACOB … JE SUIS DÉSOLER ! JE SUIS VENU M’EXCUSER ! ET JE SUIS VENU TE DIRE QUE J’AI PRIS MA DÉCISION … ". Et ça, ça sent la mauvaise nouvelle à pleins né. J'avoue, j'en ai assez de me faire souffrir, de me faire des illusions, alors, la meilleur tactique est sens doute être froid avec elle... D'être distant ou peut-être même de ne plus la revoir. C'est un peu comme une armure, cette froideur. Et pourtant, si vous saviez comment j'aurai aimé la prendre dans mes bras, rien qu'un instant.

JACOB : OH... C'EST TOI. TU T'ES DONC SOUVENU DE MON EXISTENCE ? ET JE CONNAIS TA DÉCISION. INUTILE DE REMUER LE COUTEAU DANS LA PLAIE...

Je m'étais préparer a ce genre de réponse, par contre je n'étais pas préparer a la colère qui avait suivit. D'accord, ce n'était pas à moi d'être en colère mais il y avait quelque chose en moi qui ne demandait qu'a sortir. Je le regardais, mon regard s'assombrit. Je n'allais pas non plus tourner autour du pot, je lui dirais clairement les choses une bonne fois pour toute. Ensuite ce serait a lui de prendre sa décision.

BELLA: TU ES INJUSTE JACOB, TU SAIS TRÈS BIEN QUE JAMAIS JE NE POURRAIS T'OUBLIER. TU ES BIEN TROP IMPORTANT A MES YEUX. PEUT-ÊTRE MÊME TROP JUSTEMENT.

Jusque la je n'avais pas été très claire. Moi même j'avais du mal a me comprendre. Je soupirai, provocant au passage de la buée car il faisait froid dehors.

BELLA: COMMENT POURRAIS TU SAVOIR QUELLE EST MA DÉCISION ALORS QUE MOI MÊME JE NE LA CONNAISSAIS PAS AVANT CE MATIN?

Je m'approchais lentement, tout en laissant quand même une certaine distance entre nous. Je me mis a tripoter nerveusement les pointes de mes cheveux, indifférente au fait que Quil et Embry nous écoutaient. De toute façon ils seraient au courant tôt ou tard, alors qu'ils restent si ça leur fais plaisir. Je baissais les yeux au sol, avant de poursuivre.

BELLA: JE N'AURAIS PAS DU PARTIR, JE TE L'ACCORDE. MAIS IL VOULAIT MOURIR PARCE QU'IL PENSAIT QUE JE L'ÉTAIS MOI-MÊME. TU AVAIS RAISON, IL M'A ABANDONNER. MAIS LE FAIT QUE JE LUI AI SAUVER LA VIE NE VEUT PAS POUR AUTANT DIRE QUE C'EST AVEC LUI QUE JE VEUX ÊTRE ...

J'étais un peu mal a l'aise. Parce que je me sentais observé. Je me retournai donc et regardai Quil et Embry de façon à leur faire comprendre qu'ils n'étaient pas désirés dans la discution. Embry souriat et ils se retirairent. Bon, ma réponse fut seche, mais je ne pensais pas un mot de ce que je disais. Enfin si, mais je ne savais plus vraiment ou j'en étais. Après tout, tout ce que je voulais, c'était elle. Après un court instan, elle me regarda et prit son regard le plus sombre, elle semblait s'énerver. Alorr elle me rappela que ce n'était pas à moi d'anticiper sa décision, pourtant tout était très clair maintenant. Je ne suis pas assez bien pour elle.

JACOB: TOI AUSSI, BELLA. MAIS JE CROIS AVOIR COMPRIS CERTAINES CHOSES : TU MERITES MIEUX QU ' EDWARD. BEAUCOUP MIEUX. MAINTENANT, JE NE ME PRETEND PAS ETRE MIEUX QUE LUI. MAIS AU FOND JE VEUX JUSTE TON BONHEUR.

Et c'était bien vrai. Gené, je détournai son regard... Je fixais sa voiture, les arbres, et puis le sol à mon tour. Ce n'était pas une situation facile, je faisais mon possible pour cacher mes sentiments. Et pourtant je ne pouvais certainement pas tomber plus bas. J'avais besoin d'une réponse concrète, d'arrêter de me torturer. D'être fixé une bonne fois pour toute.

JACOB: ET MAINTENANT, QUE COMPTES-TU FAIRE ? QUELLE EST TA DECISION ?

Je me souvint alors le jour où elle m'a supplier de ne pas la laisser seule, de ne pas la laisser tomber. Maintenant, c'est le contraire : J'ai besoin d'elle, et de personne d'autre.

JACOB: TOI AUSSI, BELLA. MAIS JE CROIS AVOIR COMPRIS CERTAINES CHOSES : TU MERITES MIEUX QU ' EDWARD. BEAUCOUP MIEUX. MAINTENANT, JE NE ME PRETEND PAS ETRE MIEUX QUE LUI. MAIS AU FOND JE VEUX JUSTE TON BONHEUR.

Et il avait raison. Certes je m'en rendais compte un peu tard, mais il avait entièrement raison. Non pas qu'Edward ne m'avait pas rendu heureuse, mais il y a une chose qu'il m'a dites avant de partir qui était véridique. A savoir que mon monde n'est pas le sien. Il avait entièrement raison sur ce point, même si je n'avais pas voulu me l'avouer avant. J'étais bien trop têtu pour m'avouer vaincu. Je relevais les yeux, constatant au passage de Quil et Embry s'en allaient. Tant mieux, nous allions pouvoir discuter tranquillement. Je sentis mes joues rougir, même si je ne savais pas si c'était dut au fait que j'étais mal à l'aise ou bien a cause du froid. Je lui souris, de façon un peu plus ... amicale cette fois ci.

BELLA: JE SUIS VRAIMENT DÉSOLER. J'ÉTAIS TELLEMENT ACCAPARER A PENSER A EDWARD, A SON DÉPART, QUE J'EN AI OUBLIER DE REGARDER L'ESSENTIEL ... A SAVOIR TOI!

Voilà qui était dit. Tant qu'a faire, autant déballer tout ce que j'avais sur le cœur. Mais comment lui annoncer sans avoir l'air d'être une idiote? Oh, et puis? Au fond tant pis si j'avais l'air d'une idiote, l'importance était maintenant de lui dire la vérité. Je détournais mon regard, car ses yeux fixaient sur moi m'empêchais de parler.

BELLA: MAINTENANT JE COMPTE EXPLIQUER A EDWARD POURQUOI C'EST TOI QUE J'AI CHOISIS. EN ESPÉRANT BIEN SÛRE QUE TU ACCEPTE DE ME PARDONNER!

JACOB: JE NE SAIS PAS QUOI DIRE, BELLA... TU ES SURE ?

Bonne question. Étais-je sûre de ce que je faisais? Voilà pourquoi j'avais tant réfléchis avant de venir lui parler. Tous simplement parce que j'avais peur de ne pas être sûre. Et voilà qu'il réussissait encore une fois a semer le doute dans ma tête. Pourquoi bon dieu pourquoi? Je ne relevais pas les yeux vers lui, perdus une nouvelle fois dans mes pensés. Le silence commençait a s'installer entre nous, un silence qu'il finit par rompre.

JACOB: JE VEUX DIRE... J.. JE T'AIME BELLA. JE T'AI TOUJOURS AIME. PEU IMPORTE OU CELA NOUS MÈNE. JE SUIS LA POUR TOI.

Immédiatement je relevais les yeux et lui sourit. Voilà ce dont j'avais besoin, une sorte électrochoc. Mon cœur s'accéléra brutalement. Oui, j'en étais sûre c'était ce que je voulais. Je m'approchais lentement de lui, très lentement pour éviter de me retrouver sur les fesses. Quand je fus enfin face a lui, je pris sa main dans la mienne. Comme chaque fois, sa peau était chaude, bien trop chaude pour un être humain normal. Je levai enfin les yeux vers lui, les larmes me montaient aux yeux a cause du vent qui soufflait. J'étais tremper, mes cheveux partaient dans tous les sens, et mon t-shirt commencer a devenir transparent. Je regrettais maintenant de ne pas avoir pris ma veste. D'une voie tremblante, je finis par murmurer.

BELLA: JE T'AIME AUSSI JACOB. JE NE PEUX PAS TE PROMETTRE QU'EDWARD NE SE METTRA PLUS EN TRAVERS DE TON CHEMIN, MAIS JE PEUX TE PROMETTRE QUE CETTE FOIS JE NE LUI CEDERAIS PLUS. C'EST AVEC TOI QUE JE VEUX ÊTRE. IL M'A FALLU DU TEMPS POUR M'EN RENDRE COMPTE, MAIS IL VAUT MIEUX TARD QUE JAMAIS ...

Edward. J'étais en pleine overdose de ce prénom. Je ne voulais plus le voir. Plus entendre parler de lui. Et pourtant, je ne pouvais pas faire comme si il n'existait pas. Ma jalousie persistait; Mais que faire ? Je ne pouvais pas me tracasser toujours pour la même cause, il fallait que je vive l'instant présent. Je n'arrivais pas à décoder son "Je t'aime". Je n'arrivais pas à croire ses paroles, même si j'en avais envie. Tout cela était si... Brutal. Je n'arrivais plus à réfléchir : me voila donc contraint d'agir par impulsion. Après tout, peu importe que les autres l'aiment. Tant qu'elle se refuse à eux. Le vent commença à souffler de plus belles, ses yeux devinrent humide. Elle s'approcha de moi comme pour rompre la distance et prit ma main. Immobile, je ne pouvais plus bouger. J'étais comme paralyser. Amoureux. Je la regardai et vit que son T-shirt devenait transparant... Hum, je m'obligeai à relever mon regard vers ses yeux. Elle était trempée. Elle devait sans doutes avoir froid, alors je la pris dans mes bras. Aussi doucement que possible.

JACOB: TU VEUX PEUT-ETRE QU'ON RENTRE AU CHAUD ?

Je lui sourit. Elle leva les yeux vers les miens. Nos visages n'étaient qu'a quelques centimetres de distance. Mais il y avait toujours une distance, aussi moindre soit-elle. Alors j'approchais lentement mes levres des siennes.

J'avais peur de sa réaction. Après tout, qu'est-ce qui l'obligeais a me croire? Je l'avais abandonner, comme Edward m'avait abandonner lui même. Hors, je savais exactement ce que ça faisait d'être abandonner. Je serrais un peu plus sa main dans la mienne, déjà la chaleur m'envahissait un peu. La pluie redoubla d'intensité, à croire que quelqu'un quelque part avait envie de se venger de moi. Je n'en avais vraiment rien a faire cela dit. Parce que enfin aujourd'hui je donnais un sens a ces longs mois de souffrance. Pourquoi aurais-je du choisir Edward alors qu'il m'avait fait tant de mal. Charlie m'avait dit qu'on devait apprendre a aimer ce qui nous faisait du bien. Hors c'était Jacob qui me faisait du bien. Et aussi bizarre que cela puisse semblait, j'avais appris a l'aimer. J'avais mis du temps a m'en rendre compte, mais c'était le cas depuis le commencement. Il était fait pour moi, doux, tendre et attentionné. J'étais tout simplement amoureuse de lui. Il me prit alors dans ses bras, sa chaleur m'envahit. Je frissonnais a cause de la différence de température de l'air et de son corps. Mais j'étais trempé, j'avais froid, je me blottis donc contre lui.

BELLA: OUI, JE VEUX BIEN!

Une fois de plus je frissonnais. Je me serrais un peu plus contre lui, car la distance aussi minime soit elle me semblait insupportable. Je relevais le visage vers lui, un sourire sur les lèvres. Nos visages étaient proche, mais ils me semblaient toujours trop éloignés. Je m'approchais encore un peu, jusqu'à ce que mes lèvres entre en contacte avec les siennes.

Il est clair qu'une décision aussi surprenante pouvait laisser des traces. Mais j'étais bien trop heureux de cette dernière pour être pessimiste. Les conséquences ? au diable. Je l'aimais, c'est tout. Je vivais pour la première fois depuis des lustres une aventure merveilleuse, des instants magiques. Son visage s'approcha lentement du mien... jusqu'à ce que nos levres entrent en contacte. Je ne pu définir cet instant, je frémissait de plaisir, j'avais un peu peur aussi, car c'était notre premier baiser mais je n'étais que bien trop amoureux pour songer a quoi que ce soit. Je pensais rêver et priais pour ne pas me réveiller.

Les mots me manquaient. Aucuns ne voulaient sortir. Je me contentai d'esquisser un leger sourire qui se transforma progressivement en un sourire étincellant. Je baissa ma tête vers son visage camouflant ma timidité melée a ma surprise et a mon bonheur bien entendu... Sans effort et en un instant je la soulevais dans mes bras tel une princesse humide jusqu'a l'interieur. En effet c'était ce genre de situations qui me rendaient fier de ma température corporelle. Dans un silence, je pouvais entendre mon coeur battre à tout rompre. J'ouvris la porte et tourna la tête une dernière fois vers le ciel gris et la pluie violante avant de refermer la porte

- NOUS SOMMES ARRIVES A DESTINATION MADEMOISELLE.

Dis-je en la reposant délicatement. Je l'entraina vers la petite pièce qui nous servait de salon afin de lui donner une couverture tiède.

L'avantage d'un loup garou? Il vous tient chaud même sous une pluie battante. Je restait blottis contre lui mes lèvres toujours collés aux siennes. Je le sentis frémir, ce qui déclencha mes propres frissons. Ce que j'avais redouter pendant un certain temps était finallement arriver. Je me rendais compte que j'avais tellement résister contre ces sentiments naissant que je ne m'étais pas rendu compte de ce que je voulait réellement. A savoir lui.

Je levai la tête pour le regarder. Nous nous dévisagions ainsi un moment. Je n'avais franchement pas envie de bouger. Je le vis sourire. Son sourire. Le sourire de mon Jacob, celui que j'aimais tant. J'enfouis ensuite ma tête dans son cou. Je sentis ensuite le sol se dérobait sous mes pieds. Il m'avait soulever comme une petite fille, comme si je n'étais pas plus lourde qu'une plume. J'avais l'impression d'être une princesse dans ses bras, ce qui m'arracha un sourire. Le silence s'était maintenant installer, uniquement perturber par la pluie battante. Enfin, nous rentrions. Il me déposa, je dégouliner puisque j'étais tremper. Je m'asseyais sur la canapé alors qu'il me donnait une couverture. Je m'enveloppais dedans, mais loin de la chaleur du corps de Jacob il faisait bien plus froid. Je grelottais, au point que je ne pouvais même plus parler.

[Désoler du retard et du poste pourri --" ]