Carlisle Cullen <uc>

« Identity Card »

Dr. Carlisle Cullen, né en Avril 1640 à Londres, Vampire végétarien & Médecin.

« Sweet About Me »

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« I Am What I Am »

J’ai toujours trouvé qu’il était difficile de s’auto analyser… Mais soit, essayons.
Depuis mon plus jeune âge, oui certes ça date, j’ai toujours été quelqu’un d’assez posé, calme et réfléchi. Je n’avais pas lors de mon adolescence la fougue des jeunes d’aujourd’hui, je crois qu’à l’époque ce n’était tout simplement pas imaginable que des enfants se rebellent contre leurs parents.
Maintenant, je ne pense pas être fondamentalement différent. Quelques petites choses ont changé. Hm. Quel euphémisme. Je suis devenu ce que mon père et moi-même mettions tant d’ardeur à chasser. Je suis maintenant habitué à cette condition et j’ai fait ce que j’ai pu pour ne pas être un danger pour les autres individus, les humains qui vivent dans cette petite bourgade. Voila ce qui nous amène à un autre de mes traits de caractères. Je suis protecteur. Envers d’abord les humains. Jamais je n’ai tué, je ne me suis à aucun moment nourris du sang de ces pauvres innocents, ceux dont j’avais moi-même fait partie. Et puis envers ma famille. Oui, c’est rare pour un vampire d’avoir une famille. Je comprends votre étonnement. Je ne suis pas né comme ça, enfin, pas biologiquement, les membres de mon « clan » je les ai moi-même créés. Mais attention, je ne pense pas que ça ait été un geste égoïste de ma part uniquement pour avoir de la compagnie. J’ai toujours transformé des personnes qui seraient mortes de toute façon, des personnes qui n’avaient aucune autre issue. Bref donc le « clan d’Olympic »comme les Volturi aiment à nous surnommer, c’est encore bien plus que ça. Nous sommes tous unis par un lien extraordinaire et il me serait tout à fait insupportable qu’il arrive quelque chose à l’un des miens.
Je pense être assez pacifique et j’ai horreur d’avoir à me battre et de détruire d’autres de mes semblables quel que soit leur régime alimentaire. Par contre si j’en étais réduit à cette extrémité pour sauver ma famille, je le ferai à lors sans sourciller et sans coup férir.

Dr. Carlisle Cullen vu par une vampire itinérante…

« Carlisle a un physique plutôt avantageux. En effet, il a gardé l'apparence d'un homme en pleine force de l'âge, 33 ans. De grande taille, de larges épaules, il est plutôt costaud, mais ce n'est pas non plus une brute épaisse, un gorille comme on dit.. En effet, sa silhouette est parfaitement bien proportionnée, il a l'allure d'un mannequin. Sa peau est pâle comme la mort, dure et froide comme le marbre.. Ses yeux sont de couleur variable, mais la plupart du temps topazes, avec une lueur ambrée ou dorée selon la lumière. Lorsque son humeur s'altère ou que sa soif prend le dessus, ils deviennent noirs corbeau et brillants. Ses cheveux sont blonds cendrés, c'est à dire par vraiment couleur des blés, mais pas réellement châtains.. une couleur qui n'accentue pas la pâleur presque cireuse de son teint.
Carlisle est pratiquement toujours souriant, ce qui lui donne un air aimable et accessible. Son sourire est assez charmeur, attention mesdames. »

Comme je le disais, il est très rare pour un vampire d’avoir une famille, on parle plus souvent de clan. Mais dans mon cas, je peux dire que ceux qui vivent avec moi, je les aime comme un époux et un père pourrait aimer les siens.
Esmé, mon rayon de soleil, la patience, la douceur et l’amour réincarnés. Je ne sais pas ce que serait la vie sans elle à mes côtés.
Et puis Edward, Bella & leur fille Renesmée. Une toute nouvelle petite famille aux aventures déjà nombreuses.
Alice & Jasper, un couple également très soudé et attendrissant, et enfin Rosalie & Emmett, les « grandes gueules » de la famille.
Ils sont tous différents mais tellement complémentaires et il n’est même pas possible de les envisager autrement que comme ils sont.
Sinon nous avons des enemis comme tout le monde : Les loups d’une part, et les Volturi d’autre part. Vaste programme !

« My Story Build Me »

Passages tirés des journaux successifs de Carlisle Cullen :

London, May 16th 1640.

«Je vis le jour à sept heures du matin... n'ayant pas laissé beaucoup de répit à ma pauvre mère, qui mourut quelques heures après m'avoir donné la vie. Mon père était le pasteur de la grande paroisse St John, l'une des plus grandes de la capitale anglaise.
Les temps étaient troublés. Les troubles au sein de l’Eglise, conflits entre Catholiques & Protestants. D’autre part, l’anglicanisme d’Henri VIII est toujours présent dans les mœurs. Les puritains, persécutés, fuient par milliers vers l’Amérique. La guerre civile est sur le point d’éclater.. Parallèlement, les paroisses traquent les sorcières, les vampires et autres créatures du diable. Mon père et d’autres pasteurs sont de ceux qui veulent purifier les âmes des citoyens.»

London, 1655.

« La chasse aux sorcières prend un nouveau tournant. Plus féroce, parfois, il s’agit même de cruauté. Je ne saisis pas encore très bien les griefs que mon père et d’autres pasteurs retiennent contre ces civils qui ont pourtant la même apparence que nous.
Mon éducation est confiée à un précepteur, il m’enseigne la philosophie, l’Histoire, le Français, et les sciences telles l’Astronomie la Physique… Je suis avide de connaissances.
Lorsque mon père est chez nous, je lui demande de m’en dire plus sur cette chasse aux sorcières qu’il mène avec acharnement. Il me dit que des créatures de Satan terrorisent la population. De mystérieuses disparitions sont à déplorer, de sanglants meurtres sont commis sur plusieurs paroisses. Il me dit qu’il compte sur moi pour prendre le relais lorsqu’il sera retiré.»

London, 1660.

« Charles II vient d’accéder au trône. Il prend le relai suite à une période tumultueuse, la Grande Révolution a éclaté en Angleterre devenue désormais Royaume Uni. En effet, le nouveau roi règne sur l’Angleterre, l’Ecosse et l’Irlande.
Quant à moi, je poursuis des études de théologie, pour devenir pasteur, tout comme mon père avant moi. Je me joins à lui dans cette chasse qui semble ne pas avoir de fin.
Ma vie est déjà toute tracée.. bientôt viendra le temps des fiançailles. Je suis assez chanceux de ce pont de vue car mon père me laisse toute liberté de choisir celle qui sera mon épouse. Pour l’instant je n’ai pas encore trouvé. Mais ce n’est pas ma priorité. »

A partir de 1663…

« On ne sait pas combien de temps durent dix seconde de pure souffrance. Peut-être dix heures, dix jours, ou dix ans ?
Je sais que ce soir là, ma vie a basculé. Pour le monde des humains, je suis mort ce soir là.
J’étais avec une équipe de volontaires pour me mettre sur les pistes d’un mystérieux meurtrier qui sévissait à Londres. Par malheur, nous avons voulu nous diviser pour aller plus vite, ratisser plus large.
J’avais hérité du quartier sud de la capitale.

A 23 ans, on a peur de rien.
Du moins, on le pense. De toute ma vie, je n’ai jamais été aussi terrifié que cette nuit là. Dans les premiers instants en tout cas.
Je me suis senti suivi, mais je ne voulais pas me retourner. Aussi continuais-je de parader. Puis tout s’est enchaîné à une vitesse folle. Une présence derrière moi, de plus en plus près..
Je n’avais guère prêté attention à l’endroit.. malgré l’évidente puanteur qui régnait. Les égoûts. C’était le repère de ces créatures du diable. Je savais qu’elles se réfugiaient ici. Je voulais seulement comprendre. Pourquoi ces meurtres ? J’avais fait des recherches sur toutes les créatures de la nuit, une seule piste semblait plus cohérente que les autres : les vampires. Ceux-ci se nourrissaient de sang humain. Ainsi ces différents meurtres étaient à fin de subsistance. J’étais hautement intrigué..

Je me souviens d’avoir ressenti une morsure, puis deux. Tout mon corps était déchiqueté... deux canines plantées dans mon cou,mes bras, et je ne sais où encore laissant derrière elles des plaies saignant abondamment. Je tentai de prendre appui contre un mur, conserver l’équilibre.. mais mon corps était pris de spasmes, ma vue se floutait à mesure que les secondes s’écoulaient.
Mes réflexes étaient amoindris, mais je parvins à me traîner, je ne sais toujours pas par quel miracle, jusqu’à une propriété non loin de là. Ma tête me faisait atrocement souffrir, les convulsions qui m’avaient saisies s’accentuèrent.. il restait deux mètres à parcourir.. il y avait une porte. J’en distinguais très vaguement les contours. J’ignorais où cela allait me mener, mais je devais entrer là dedans.
Je suais à grosse gouttes.. mes vêtements étaient trempés et j’avais chaud. Tellement chaud. Et puis l’instant d’après, je grelottais. Comme saisi d’une fièvre fulgurante. En même temps, j’avais l’impression de me consumer de l’intérieur, que mon sang avait été remplacé par des flammes.. c’était atroce.

Mon corps était paralysé.. mon esprit bloqué.. je ne pouvais penser à rien d’autre qu’à cette souffrance qui s’emparait de moi, me rendant presque fou. Je voulais hurler, extérioriser cette douleur cuisante, mais je ne pouvais pas.. je n’en avais tout simplement pas la force.
Toutes les parcelles de mon corps étaient en feu.. un véritable brasier. Les battements de mon cœur se faisaient de plus en plus rapide, ils résonnaient dans ma tête, comme si un tambour battait. Je m’attendait vraiment à imploser d’une minute à l’autre.. et cela n’est jamais arrivé.
Pendant un temps qui me paraissait interminable, je me consumais. les morsures qui m’avaient été infligées me faisait me vider de mon sang.. mon cœur battait de plus en plus vite, propageant dans sa course folle, cette infernale sensation de brûlure dans mon corps tout entier, à travers mes veines.
J’avais perdu toute notion du temps.. je ne percevais plus rien de ce qui pouvait bien se passer autour de moi. Les sons, les odeurs, c’étaient comme si tous mes sens avaient été annihilés.

A mesure que le temps passait, j’avais de moins en moins chaud.. mon corps se refroidissait à une vitesse impressionnante, j’avais de tels frissons, mes dents claquaient si fort les unes contres les autres que je fus étonné de ne pas m’être coupé la langue..
Je tentais de me recroqueviller sur moi-même, en position fœtale. La position de repli de l’homme pour se protéger. Mais je ne pouvais pas bouger.
Au bout d’un certain temps, je ne saurais dire combien de temps, j’ai commencé à me sentir m’engourdir, comme si j’étais enterré sous un manteau de neige, emprisonné dans de la glace. Mes paupières s’alourdirent.. je sombrais dans l’inconscience. Le coma ?
Lorsque je me suis senti revenir à moi-même, je fus étonné de ne plus sentir cette horrible douleur dans tout mon corps. Les battements de mon cœur ne tambourinaient plus dans ma tête, je n’avais plus ni chaud, ni froid. Mais je sentais dans ma gorge un affreux et insidieux picotement..c’était comme si je n’avais pas bu ni mangé depuis des jours. Ma bouche était pâteuse. Et pourtant, rien que de penser à de la nourriture, j’en avais la nausée. Etais-je malade ? Ou mort ?
A ce stade, je ne le savais pas encore très bien. J’ouvris les yeux, comme si je sortais d’un long sommeil. A mon grand étonnement, je vis avec une précision incroyable, toutes les micro particules de poussières qui étaient, j’en étais quasiment certain, invisibles à l’œil nu. Ma vue aurait-elle autant progressé à mon insu ?

Je tentais prudemment un mouvement. A ma grande surprise, je n’étais plus du tout engourdi. Le mouvement m’avait semblé se faire tout seul, sans que j’ai le besoin de faire le moindre effort. Pour moi, j’étais miraculeusement revenu à la vie.. j’ignorais toujours ma nouvelle condition.

Mon ouïe semblait elle aussi incroyablement plus fine. J’entendis des voix comme si elles me parlaient au creux de l’oreille. Y avait-il des gens dans cette maison ? Avaient-ils remarqué ma présence ?

Je décidais de me lever. Là encore, j’exécutais un mouvement délié et souple, comme si je n’étais qu’une bulle d’air.
En sortant au grand air, je fus suffoqué par les odeurs qui m’assaillaient, le bruit qui m’agressaient les tympans. Londres était-elle soudain devenue si grouillante ?Cette odeur provoqua en moi une sorte de frénésie, une faim encore inconnue. Ou plutôt une soif intense.
Cette soif, cette sensation d’avoir le feu dans la gorge, cette avidité pour le sang.. les sens hyper développés, cette force et cette rapidité.. autant de signes qui m’ont mis la puce à l’oreille quant à ma nouvelle condition. L’abomination. Je devenais tout un coup le monstre que mon père et tant d’autres chassaient.. que j’avais moi-même voulu traquer. Je ne pouvais me faire à l’idée que j’étais devenu un prédateur sanguinaire pour le genre humain.

Je savais que si je retournais auprès des autres, je serais rejeté, j’avais été contaminé par le Diable lui-même. Je savais pertinemment quel serait mon sort.. et puis je me rendais à présent compte du danger que je représentais pour les humains. Il fallait à tout prix que je me contrôle.

Dans les premiers temps, je me répugnais. Et pourtant, il fallait bien faire avec ma nouvelle nature, je ne pouvais y échapper. J’ai tenté de m’autodétruire, ne pouvant accepter d’être devenu un tel monstre, aux pulsions meurtrières. Je testais toutes les solutions que j’avais lues dans les livres pour éliminer les vampires.. mais aucune n’était efficace. Les pieux, l’eau bénite, le soleil.. rien n’y faisait.
J’essayais alors ce que l’on appelle de nos jours la grève de la faim. Je ne me nourrissais plus. Ainsi, j’étais sûr de ne pas faire de victimes. La créature que j’étais devenue allait bien finir par se trouver si affaiblie qu’un rien pourrait l’achever. Eh bien non.

Je dus me résoudre à accepter mon destin.. je m’exilai dans une forêt.. je ne sais plus trop laquelle.
J’errais. Et puis, je trouvais un troupeau d’animaux. Je les avait repérés à leur odeur.. des cerfs. Ou des biches.. peut-être les deux. Ma soif était telle que je ne pus résister à la tentation de ces proies quasi offertes. J’aspirais littéralement le sang de ces pauvres bêtes et je constatai en même temps que je me revigorai. Ce fus une sorte de salut pour moi.. si toutefois l’expression pouvait s’appliquer aux créature de mon espèce. Je n’avais pas besoin de me nourrir de sang humain.

Dès lors, je parcourus le monde.. l’Irlande, où je fis la rencontre d’une petite communauté. Puis l’Italie. Là, je séjournais quelques temps parmi une puissante « famille » : les Volturi. Mais leur compagnie m’était assez peu agréable, à la longue.
Comme le temps n’avait plus de valeur pour moi, je m’étais attelé à l’étude de la médecine. J’ai consulté des ouvrages par milliers. La biologie, la physique, toutes ces sciences n’avaient quasiment plus de secrets pour moi. J’ai commencé à exercer la médecine. C’était une sorte de façon de retrouver la paix avec moi-même. Non seulement je ne faisais pas de victimes humaines pour subsister, mais en plus, je sauvais des vies.. Ce devait être dans les dernières années du 18ème siècle.

Dans la première moitié du 20ème siècle, j’ai traversé l’Atlantique. Chicago fut mon point de chute. J’aidais dans un hôpital assez miteux auprès de patients atteints de la Grippe Espagnole. Il y avait assez peu de chose à faire pour eux, mais ma mission, ainsi qu’à mes confrères, étaient d’adoucir leurs derniers instants.
Elisabeth Masen. Une pauvre femme qui malgré la maladie, ne souhaitait qu’une seule chose : que son fils ait une chance de s’en sortir. Je suis resté auprès d’elle de longues heures.. mais je savais qu’elle était perdue. Elle aussi. Mais sur son lit de mort, elle me fit promettre de faire tout ce qui était en mon pouvoir pour sauver son fils : Edward. La pauvre, si elle savait ce que j’ai fait. Me pardonnerait-elle ? J’ai donc transformé Edward l’année de ses 17 ans. J’en ai fait mon fils adoptif et l’ai aidé à s’adapter à mon régime.
Puis cette jeune femme si fragile et si attachante, son parfum me hantait d’une façon des plus délicieuses.. Esmé. Elle avait voulu attenter à ses jours suite à la perte de son enfant. Le décès d’une si belle femme, aux traits si doux et délicats n’aurait été que pur gâchis. Je l’ai transformée à son tour faisant d’elle ma compagne, puis mon épouse.
Nous ont rejoint par la suite Rosalie Hale, une très jolie jeune fille.. puis Emmett.. et enfin Alice & Jasper. Tous ont une histoire très particulière. Nous nous somme sédentarisés dans l’Etat de Washington. A Forks plus précisément. Les jeunes vont au lycée de la ville, et moi, je travaille à l’hôpital.

Edward qui avait vécu seul toutes ces années avait finalement rencontré l’amour. Elle lui avait redonné son sourire rêveur, sa joie de vivre. Le seul problème : elle était humaine et elle était en danger à chaque fois qu’elle nous fréquentait. Pas à cause de nous directement grâce à notre mode d’alimentation, mais à cause des vampires nomades qui passaient dans le coin et qui ne manquaient pas de nous rendre visite, et des traqueurs, comme James, Laurent et Victoria. Ceux là nos ont donné du fil à retordre et nous avions bien crû que Bella y passerait.

Et puis il y a eut ce déplorable accident, le soir des 18 ans de Bella. La considérant comme l’une des nôtres, notre petit lutin a souhaité lui organiser une fête. Et tout aurait pu se dérouler merveilleusement bien… mais le sort en a décidé autrement. Bella s’est coupée avec un papier cadeau et un drame a failli se produire.
S'en est suivi une longue période d'errance pour Edward et de désolation pour nous tous. Loin de Forks, loin de Bella. Les Volturis ensuite... Encore eux... Encore et toujours.
Maintenant que nous sommes de retour, que va-t-il se passer ? »

Bienvenue a toi papa Cullen

Messages : 188 Date d'inscription : 21/11/2009 Age : 33

Bienvenue le vampire!!!!!!!!!!!!! ^^

Merci gentille petite humaine ! =D

Invité

Bienvenue père^^

Je suis amoureuse de ton vava Oo

Rosalie quelle solennité ;)
Mais merci ^^

Merci Bella =D

De rien x)

Papa !!!!!!!

Edward !!!! <3

Messages : 49 Date d'inscription : 26/11/2009

bienvenue, vampire...

Merci boule de poile ! =D
Fiche terminée au fait !

Messages : 188 Date d'inscription : 21/11/2009 Age : 33

Ohhhhhhh!!
Bah on se connait toi et moi!!
Je suis Chloé sur Twilight Passion!!
Bah écoute Sexy Vampire, tu es VALIDE!

Ah ben ... pas trop de secret sur mon identité sur TP .) XD
Merci en tout cas ;)

Messages : 188 Date d'inscription : 21/11/2009 Age : 33

De rien!!!!!!!!!

J'viens de faire une fausse manip j'ai perdu le 1er message de ma fiche .. :( et y'a un gros bug là on dirait.. est-ce que ça serait possible de supprimer les derniers messages ...enfin réparer un peu ce bazar ?
*sort *

Messages : 188 Date d'inscription : 21/11/2009 Age : 33

Hum, oui effectivement, il y a eu un gros bug.

Tu as essayé d'éditer? Mais autrement ouais, moi je veux bien supprimer les derniers messages.

Oui j'ai du cliquer "citer" au lieu d'éditer.. XD
en fait y'aurais celui où y'a "rappel du premier message" à virer ... mercii * boulet*

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