James Black
Messages : 49 Date d'inscription : 26/11/2009
| Sujet: encore un loup-garou {James Black} FINI Jeu 26 Nov - 22:28 | |
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« Identity Card »
James, dit Jammy, Black (qu'on peut aussi reconnaitre sur le nick de Black Jake), loup-garou, 23 ans, aucune profession)
« I Am What I Am »
Parlons de moi.
Je suis quel qu'un de solitaire, donc c'est assez difficile pour moi de rallier un lien d'amitié avec une autre personne. Généralement, je communique plutôt avec ceux qui ne sont pas contre de boire un bière en ma compagnie. Genre s'asseoir par terre, fermer les yeux, allumer une cigarette, ouvrir une bière et rester comme ça, en silence, en contemplant la lune. Marrant, non? Je suis égoïste. Je ne m'occupe pas des intérêts des autres. Étant devenu loup-garou, je ne préoccupais pas trop de la vie des humains autour de moi, je ne tuais les vampires que quand ils se mettaient sur mon chemins. Pourquoi suis-je revenu à Forks? Bon, mon intuition n'y est pour rien. J'avais simplement envie de changer. Ma mère téléphone de temps à autre à son frère, à Billy, et donc j'avais appris que lui aussi avait un fils, un loup-garou. Je voulais le voir, lui parler... enfin, quel que chose de ce genre-là.
Comment je suis?
Assez grand je pense, environ 1m87. Avant je faisais même de la musculation, mais j'ai abandonné, de toute façon, devenu loup, je suis fort sans faire d'exercices, pourquoi me fatiguer alors? Avant, je portais des cheveux longs, genre rocker. Encore petit, ma mère me couper les cheveux à presque être chauve. Elle, elle pensait que c'est mieux pour l'hygiène. Elle parle! Non mais! Maintenant, de toute façon, si je ne les coupe pas, ça deviendrait trop difficile de me transformer et je risquerait de m'étouffer un de ces jours... Yeux noires (je porte des lentilles), bouche à demi-ouverte, sourire méprisant... Et peau assez pale. Je sais que d'habitude les loups, donc les indiens méprisent les visages pales et je ne me souviens pas d'avoir eu quel qu'un dans ma famille à en être un. Bref, bien sur, je peux mettre de la crème, mais ça ne servirait de toute façon à rien. Par contre, je peux vivement aller me bronzer ou je veux sans attirer l'attention sur moi.
Moi et les vampires
Je ne les déteste pas. Simplement je ne vois aucun intérêt à les haïr et à passer ma vie à les chasser. De plus, je suis convaincu que, étant donné qu'ils étaient jadis humains, alors leurs désires peuvent d'assoiffé selon les sentiments qu'ils avaient étant encore que des hommes. Bref, c'est difficile à expliquer. Si je vois une sangsue dans la foret, je ne me jetterais jamais le premier sur elle.
Et encore.
Être un loup-garou, c'est avoir des dizaines de jeans, de t'shirt dans le grenier. Je n'ai pas trop les moyens à changer ma garde-robe chaque jours, donc, au cas ou, je prends toujours une paires de jeans ou que je vais.
« My Story Build Me »
Je suis née à la Réserve près de Forks. Jusqu'à 6 ans j'y habitais même. J'adorais cet endroit, cet endroit de liberté. Ma mère faisait partie du peuple d'indiens qui y habitait depuis des centaines d'années. Rousse (elle s'était colorée les cheveux peu avant ma naissance), toujours souriante et de bonne humeur, elle me laissait à tout moment de la journée me promener seul dans la foret, me baigner dans la mer et m'amuser avec les animaux. Ah, que j'adorais me lever tôt le matin, enfiler un p'tit jean et aller me jeter dans les flaques! A midi je revenais chez moi pour prendre un déjeuner et continuer ma ballade. Bref, comme vous voyez, j'étais libre. Mais j'étais seul aussi. J'avais pris l'habitude de ne jamais parler à mes parents ou j'allais et ce que je faisais. J'avais des amis, ouais, mais je n'y faisait pas attention. Enfin, un enfant de 6 ans ne peut comprendre le sens des relations humaines.
A 6 ans je ne sais réellement pourquoi ma mère décide de déménager. Je crois même que c'était due à une grande querelle entre elle et mon père, et son frère, aussi. A y réfléchir encore plus, ça serait à cause de la nature de mon père, du fait qu'il était un loup-garou. Des loups-garous, ça ne tombe pas amoureux, ça peut s'imprégner. Alors, je crois que mon père s'était trouvé une autre ou quel que chose de ce genre-là... J'étais petit et j'avais envie de dormir. Je me souviens que maman m'avait pris par les épaules et m'emmena dans la voiture. Je dormais tout au long du chemin. Quand j'ouvris mes yeux, un autre paysage qui ne ressemblait nullement à Forks s'offrait à moi. J'avais même peur. Mais... je ne sais pas ce que ma mère cherchait. On déménageait chaque année jusqu'à l'âge de mes 16 ans. Enfin, à vrai dire, c'est tout une histoire.
J'étais pas un ado normal, plutôt genre rebelle. Percing, couteau dans la poche, bottes noires et squelette sur le torse, sans oublier le tatouage en forme de dragon sur ma poignée. J'allais pas en cours... bah quoi, je n'y voyais pas de sens car de toute facon j'abandonnais chaque fois l'ecole pour m'en trouver une autre dans une nouvelle ville. Je trenais le soir avec mes "potes" dans des clubs/pubs/cigarettes et alcool de la partie. Quand à ma mère, je pense qu'elle s'était rendu compte qu'elle allait bientôt perdre tout contrôle sur moi, mais elle ne pouvait plus rien faire à vrai dire. Le jour de mes 16 ans, bien sur, comme d'ab, j'étais parti trainer avec mes potes. A 3h heures su mat' j'étais assez saoul pour reconduire une jolie nana chez elle. On n'avait fait aucun mal, mais je me voyais en gentleman en la reconduisant jusqu'à sa porte. Elle s'appelait Kolersa, je pense. Quel que chose de ce genre-là, ça n'a aucune importance maintenant. Bref, je la conduisait à sa porte quand j'entendis une voix assez désagréable et une odeur insupportable derrière moi. dans une seconde j'étais déjà pulvérisé contre le mure. Heureusement j'étais assez costaud, donc le choc ne m'avait pas trop fait souffrir. Quand je m réveillais, un scène terrible s'offrit à moi: un homme penché sur la nana en buvant son sang. paradoxalement, je ne me voyais pas regretter sa mort (puis ce que j'étais sur à ce moment-là qu'elle était morte). Des pulsions parcouraient tout mon corps. La douleur me submergeait. Mes mains étaient en sueures, j'avais pour la première fois dans ma vie envie de détruire, de détruire pour je ne sais quelle raison, mais sans arrière pensée. Donc, je me transformait en loup. Voila. Je ne me souviens pas de se qui s'était passé après. Je ne garde aucun souvenir de ma confrontation avec ce vampire, mais des que je revins chez moi, je pris un sac pour y mettre toute mes affaires. Une dispute éclata entre ma mère et moi. Bien Sur qu'elle ne voulait pas me laisser partir, elle ne voulait pas que je renonce à être humain... Quoi que je ne suis pas sur qu'elle était sincère. N'importe quelle mère n'aurait pas voulu laisser son fils partir. C'est un truc normal, un truc physique aussi. Mais je parti... pour revenir 5 heures plus tard à la maison.
On ne déménagea pas plus. Je voulais avoir quel que chose de sur sous mes pieds. Moi, un loup-garou? Je m'habituais vite à cette idée. Pourtant, je ne voulais en aucun cas rejoindre la meute du camps. Moi, j'étais quel qu'un de solitaire, je n'avais besoin de personne. Quels que années écoulèrent en silence... Puis, tout d'un coup, j'eus comme un sentiment que ma place n'était pas ici, dans une ville toute inconnue, mais à Forks. Je me levais donc dans la nuit sans rien dire à ma mère pour me sauver en forme de loup vers Forks. Voila, je suis ici. Me faut juste trouver des vêtements.
« Sweet About Me »
» Prénom / Pseudo: Lo » Âge : 20 » Localisation / Pays : » Depuis quand faites vous du RP ? depuis longtemps
» Avatar : Steven Strait » PV ou Inventé ? [] PV ; [x] Inventé » Multi-compte ? [] Oui ; [x] Non » Comment avez-vous découvert le forum ? sur un autre fo » Votre avis sur le forum : /20 commentaire » Votre présence : 4/ 7 » Niveau RP : (le nombre de lignes que vous faites en moyenne) 1,5 lignes A4 » Exemple RP :- Spoiler:
Effectivement, Tessa n’était pas une femme “it’s hard to control myself”. Bien au contraire, il était parfois difficile à Vlad de transpercer son masque, de lui faire resentir ses propres sentiments. Même si pendant qu’ils étaient ensemble l’homme avait un peu réussi à débarrasser la mutante de la sagesse qui couvrait depuis toujours ses sentiments bouleversants, maintenant le mutant comprenait qu’il faudrait bien et bel recommencer à zéro. Et plus encore, il fallait faire revenir (et revivre) la confiance, la confiance qui regagnait jadis entre eux. Et pour cela, ‘fallait se taire, ne pas l’interrompre, ne pas essayer de la dissuader.
Pendant que Tessa parlait, le mutant, avec un sourire neutre, mais heureux quand même, regardait le bous d’oriel droite de la femme. Puis, cette dernière s’approcha de Wally et déposa un simple baiser sur sa bouche… un simple baiser… l’homme, ne perdant pas une seconde, s’empara tout de suite des lèvres de la belle. Un baiser ardent, remplit de soif, de désir, de tendresse… un baiser sauvage aussi. Le mutant passa ses mains dans le dos de Tessa, la reprocha de plus en plus de son propre corps. Sa respiration devenu saccadée, il fit presque asseoir la jeune femme sur ses genoux.
Deux mutants sur une chaise, ça fait mal. Avec un craquement sonore, la chaise se cassa en 5 morceaux, laissant tomber Lad et Tessa par terre. Si la mutante n’avait, apparemment, rien senti, certain os de l’homme frôlèrent d’une douleur piquante, le seuil et des petits boucs de bois. Pas trop agréable, mais il était trop occupé par la jeune femme pour s’en apercevoir.
Son désir montant presqu’à la gorge, il lui fallait un grand effort pour se calmer. Faire l’amour, premièrement ,dans le hall était trop… extravagant. Puis, deuxièmement, ce qui comptait, c’était le contact mental, pas le plaisir physique qui unissait l’homme et la femme. Wally était l’un des rares hommes restants sur notre Terre qui apparaissait non seulement la beauté du corps frôlant leurs propres corps, mais la présence elle seule de la femme.
- Tout désir est une violence s’il n’a pas de contact sentimental et sincère dedans.
Troisièmement, encore, Vlad avait à présent un but (seule et unique) : reconquérir Tessa. Et tous ses actions ne continuaient que de lui faire peur. Il fallait sans doute changer de tactique.
Tout doucement, l’homme détacha (avec tant de regret !) le corps de Tessa du tien pour la faire asseoir par terre à côté de lui. Avec tant d’effort, il n’arrivait quand meme pas à la lâcher entièrement, et colla la joue de la jeune femme contre son torse (à demi-nu, maintenant), caressa ses cheveux.
- Tu te souviens de notre premier baiser ?
Il sourit, puis, soudainement, éclata de rire, comme un enfant qui venait de dessiner un elephant, puis se rendait compte que ce n’était pas un elephant, mais une simple tache sur une feuille.
- Accorde-moi cette bêtise, s’il te plaît, Tessy. Je veux me ressentir enfant.
Doucement, Wally plaça sa main sur le menton de la mutante et le releva, de façon à ce que ses oreilles se trouvent juste au dessous de ses lèvres. Déposant une bise, simple, qui ne frôla même pas la peau de la mutante, sur son oriel, l’homme commença son histoire :
- C’était l’un des jours pendant la foire St-Jean. On en s’était pas donné rendez-vous, me je savais que tu y serais. Je t’attendais depuis le matin au nord du parking. Tu étais venu avec je ne sais qui barbu, chauve et sûrement pas une personne pour qui tu es faites. Je vous suivait pendant plus de trois heures, ne relâchant pas tes pas. Tu te retournais souvent pour m’apercevoir, mais… je suis un mage. Je sais me rendre invisible.
Le mutant prit la main de Tessa, la souleva, puis fit disparaître d’abord ses ongles, puis ses doigts et, enfin, son coude et toute la main entière.
- On y vendait des marguerite. Bien sur, je ne pouvais m’empêcher de te les offrir. Sans crainte, je t’approchait et te proposait ces fleurs. Toi, tu étais… assez surprise, je suppose. Tu as sourie. Tu avais une robe blanche et un grand chapeau en paille. Non, qu’est-ce que je dis ! Tu étais habillée d’une robe verte avec des fleurs blanches ! Bien sur ! J’avais même pensé qu’un collier en argent puisse te rendre encore plus belle… Bref. Tu m’as répondu que tu les accepterais… mais plus tard. Et ce plus tard arriva vite. Je ne sais pourquoi, tu étais seule le soir même. Je te voyais boire un café près de la piste de danse. Bien sur, je risquais encore une fois et je t’approchais en te proposant une danse. Tu semblais hésitante. Mais tu acceptais. On avait passe toute la soirée à danser, à boire du vin et s’amuser comme des enfants dans le parc d’attraction. Le soir, je te reconduisais chez toi. La, j’arrêtais ma voiture pour te cueillir des fleurs…
L’homme ferma les yeux. Il semblait revivre ces moments, sentir le même parfum de fleurs se répondît autour… Wally serra plus fort la tête de Tessa contre lui, murmurant plus pour lui-même que pour elle.
- Je t’aime… personne n’avait pu te remplacer.
Le mutant serra ses dents. A ce moment-là précis il senti sa conscience se réveiller. Les visages des femmes connues pendant l’absence de Tessa déroulèrent, une à une, sous les yeux de l’homme. Elles avaient été différentes : belle, un peu moins que ça, moderne, jeune et un peu plus que ça, riche et celles qui avaient simplement besoin d’argent. Wally, lui, avait besoin que d’une simple présence. S’il en avait envie, ça lui faisait plaisir d’offrir des bijoux, des fourrures aux femmes. Sinon, ça ne lui faisait ni chaud ni froid d’y dépenser des millions pour elles. De plus, un homme qui sort du casino gagnant, ça crée toujours des conséquences.
Une mélodie pas trop rare, encore moins monstrueuse résonna dans le hall, faisant sursauter le mutant. Le portable dans la poche de son pantalon se mit à sonner.
- Non mais…
Vlad se précipitait pour sortir le mobile, fixa quels que instants s l’écran avec le numéro, puis décrocha.
- Oui. Oui… Non… Non... Non…
C’était une voix féminine. Douce, légère, elle parlait assez vite ne allemand qu’il était presqu’impossible de comprendre ce qu’elle disait.
- Non… Non…je vous le répète…
L’homme tourna la tête vers Tessa, puis, en hésitant, fit encore un « non » et raccrocha.
- C’est Suzanne. La femme du monsieur Heb… je sais plus qui. Tu t’en souviens ? Il nous vendait des diamants à mis prix. Il vient d’être assassiné.
A vrai dire, cette Suzanne téléphonait surtout pour s’avoir si M. Iziz prenait la robe qu’il venait de commander la semaine dernière pour l’une des ses femmes. Robe en soie, couverte de file en or… le mutant, lui, avait bien et bel hésité à y renoncer, mais vu qu’il avait maintenant Tessa, il n’en avait plus besoin, ni de la robe, ni de la femme. » Code règlement : - Spoiler:
Code Ok by Sasha
Dernière édition par James Black le Ven 27 Nov - 18:25, édité 12 fois | |
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