Une rencontre pour le moins surprenante [James]

Deux futurs, deux âmes sœur ... C'est bien trop pour une seule personne

Ça fait maintenant trois jours que je suis revenu de Volterra, et bon nombre de chose ont maintenant changer. Tout d'abord, Charlie est très en colère contre moi. Je le comprend, mais j'aimerais tellement lui expliquer ce qui c'est passer, pour quel raison j'ai du partir. Mais je ne peux pas. Je ne me vois pas lui expliquer que j'ai abandonner mon ... meilleur ami de loup-garou pour allez sauver mon ex petit ami de buveur de sang qui tentait de se suicider parce que j'avais sauter d'une falaise.

Ensuite, j'avais parler avec Edward, il avait tenter de me convaincre qu'il n'avait pas voulu mourir parce qu'il se sentait coupable mais parce qu'il ne s'imaginait pas vivre dans un monde où je n'existait pas. Je refusais de le croire, et je m'y refuse toujours maintenant. Il m'a abandonner, c'est pas plus compliquer que ça. Quand a Jacob, je crois qu'il m'évite. Et je ne lui en veut pas. Après tout, il m'a supplier, implorer de rester, et je ne l'ai pas écouter. J'avais été cruel, et ce n'est que maintenant que je m'en rend compte.

En tous cas, j'étais consciente que je devais faire un choix et la décision n'allait pas être facile a prendre. Roméo, mon prince charmant, froid et dure comme de la pierre, qui m'avait abandonner mais dont j'avais si longtemps attendu le retour? Ou Paris, tout l'inverse, sur qui j'avais toujours pus me reposer, dans les épreuves difficiles, et avec qui j'avais passer tant de bon moments. Ce pouvait il alors que Paris puisse prendre la place de Roméo dans le cœur de Juliette? Mon esprit navigue entre deux rives opposé et je ne sais pas où il serait le plus judicieux que je m'arrête.

Ma tête me fait un mal de chien ce matin quand je me réveille. Je suis seul, j'avais demander a Edward de ne pas venir dans les prochains jours, le temps que je prenne ma décision. J'avais reçu une visite de Alice la soirée précédente, mais elle était vite repartit. Elle m'avait simplement annoncer que les Cullen allait se réinstaller a Forks. J'avais passer une bonne nuit, sans cauchemars, première nuit depuis longtemps. Je me suis habiller et après l'habituel petit déjeuner et tout se qui s'en suit, je décidai d'aller me promener dans la foret. Après tout, j'aime m'y aventurer, et je ne vois pas de meilleur endroit pour réfléchir a la douloureuse décision que j'ai a prendre. Car quel que soit ma décision final, je briserais un cœur.

Je marche depuis une bonne heure au moins, le vent frais caresse mon visage, faisant virevolter mes cheveux de temps a autre. La journée est grise, comme toujours, mais il semble qu'il ne pleuvra pas aujourd'hui. Je me retrouve dans une espèce de clairière, toute petite, et je vois alors un arbre qui s'est couché a terre, certainement suite a une tempête. Je me pose dessus, prenant ma tête entre mes mains, me plongeant dans ma réflexion, totalement indifférente au monde qui m'entoure.

Le temps filait a une vitesse, cela semblait irréel. En même temps je n'avais pas été confronter a quelque chose de réel depuis un bon moment. Des vampires, des loups garous. Voilà ce qui peuplait ma vie. D'accord j'avais eu peur de vivre une vie triste, monotone et ennuyeuse à Forks, ce n'était toutefois pas une raison pour m'envoyer toute les créatures du surnaturel possible et imaginable. Je soupirai. Hélas, la vie est la vie, et on ne peut rien y changer. Je regardais ma montre, déjà une heure c'était écouler, mais rien n'avait changer, mon esprit était toujours autant embrouiller. Nouveau soupir.

C'est alors que je vis quelque chose que toute personne normale aurait fuit, ou au moins, aurait eu peur. Moi non, j'en avais l'habitude. Un loup immense vint s'approcher de moi. Je crus instantanément que c'était Jacob, a cause de ses yeux. D'ailleurs ce loup ressemblait beaucoup a mon Jacob. Il me fixait, nos yeux étaient plonger l'un dans l'autre et immédiatement je souris. Peut-être pourrions nous enfin discuter, et je pourrais lui dire combien j'étais désoler. Le loup s'approcha, posa son nez sur mon front. Je frissonnais, car cela ressemblait en quelque sorte a un aurevoir, un adieu même. Le loup reprit sa course. Mais je ne pouvais me résigner a la laisser partir. Je me levai, essayant de le rattraper. Malheureusement il était bien plus rapide que moi, fragile petite humaine.

BELLA: JACOB ... ATTEND S'IL TE PLAIT IL FAUT QU'ON PARLE!!

Il me semblait qu'il m'avait entendu. Je poursuivais ma course a travers les bois, quand enfin, je me retrouvais a l'endroit où le loup avait finis sa course. Mais, ce n'était pas Jacob que je retrouvais, mais un jeune homme qui lui ressemblait quelque peu. Je me rendis très vite compte qu'il était nu, et gêner, je me retournai.

BELLA: DESOLER, IL SEMBLERAIT QUE JE VOUS AI CONFONDU AVEC QUELQU'UN D'AUTRE.

Même sa voix me paraissait maintenant familière et pourtant il était bien évident que je ne l'avais jamais rencontrer. Mais combien de loup allait encore rejoindre la meute déjà impressionnante qui peuplait Forks? N'avions nous plus droit a un peu de réel dans ce monde qui semblait tout droit sortis d'un roman ou d'un film fantastique? Se pouvait il alors que tout soit vrai, les légendes, les contes de fées, les histoires d'horreur? La réponse était non car dans aucun compte de fée le prince charmant n'abandonnait la princesse. Hors mon cœur encore douloureux par moment avait bel et bien était abandonner, il n'y avait aucun doute possible a ce sujet.

Un frisson m'envahit quand il parla de filles aux vampires. Comment pouvait il être au courant? Enfin, pas pour l'existence des vampires, ça c'était logique puisqu'il était un loup, mais comment pouvait-il être au courant que j'étais l'ex petite amie d'un vampire? J'étais tenter de me retourner, mais me souvenant qu'il était nu, je renonçais.

BELLA: JE NE SUIS PAS LA FILLE AUX VAMPIRES ... PLUS MAINTENANT EN TOUS CAS!

Il me dit ensuite que je devrais lui donner mon pull, histoire que ce soit plus facile pour nous de discuter, et honnêtement il avait raison. J'avais l'air d'une folle entrain de discuter avec un tronc d'arbre vu comme ça. J'enlevais donc mon pull, me retrouvant donc en débardeur. Je me retournais, il était cacher par la pierre certes, mais j'étais quand même mal a l'aise. Je lui jetais donc mon pull, puis me tournais a nouveau un instant. Il ne me laissa pas le temps de dire quoi que ce soit, car il se présenta. James Black. Ainsi, il avait un lien de parenté avec Jacob. Je n'avait pourtant jamais entendu parler de lui. Je trésaille, puis me retourner a nouveau. Comment se faisait il qu'il sache autant de chose sur mon compte?

BELLA: JE N'AI PAS PEUR DE TOI. JACOB NE PERMETTRAIT PAS QUE QUI QUE SE SOIT ME FASSE DU MAL!

J'étais contrarier. Ce jeune homme me contrarier. En fait, pour être plus claire, il me tapait réellement sur les nerfs. Jusqu'à maintenant, la seule chose dont il avait sut faire preuve c'était d'arrogance. Manque d'adrénaline? Non mais pour qui il se prenait? Je fixais mes yeux dans les siens, le regard emplis de colère.

BELLA: NON, QUAND JE SUIS EN MANQUE D'ADRÉNALINE, J'AI PLUTÔT TENDANCE A ME JETER DU HAUT D'UNE FALAISE!

En plus, les Cullen ne m'avait jamais fait peur. Comment aurait-ce était possible de penser que les Cullen pouvaient faire du mal a qui que ce soit? Esmé, la douce et tendre mère de tout le monde, Carlisle qui passait son temps a sauver des vies, Emmett et Alice mes deux meilleurs amis, et Rosalie et Jasper, qui ne faisait pas partis des personnes les plus gentils que je connaissent mais qui n'était pas des plus désagréable. Quant a Edward ... Théoriquement parlant, il m'avait fait du mal, mais au niveau mental et non physique.

Et puis d'ailleurs, en y réfléchissant, en quoi était-ce son problème? Je venais de connaitre son nom, alors pourquoi se prenait il le droit de me juger? Je soupirais.


BELLA: OUI, JACOB BLACK! TU LE CONNAIS?


Je ris, même si la situation n'avait rien de drôle. Lui? Me faire du mal? Je n'avais certes pas fait mon choix entre Jacob et Edward, mais j'étais sûre si quelqu'un me faisait du mal, l'un d'eux me vengerais.


BELLA: JE VOIS PAS CE QUE TU AURAIS PU ME FAIRE! NE T'EN FAIS PAS, J'AI PAS PEUR!

Une fois de plus le vent souffla, faisait voler mes cheveux dans le vent. Je dévisageais ce fameux James en face de moi, il semblait prendre un malin plaisir a me foutre en rogne. Je soupirai, regardant et écoutant le loup qui se disait le cousin de Jacob. Mais si c'était le cas, tout deux se ressemblaient peu. L'un était arrogant et me tapait très fortement sur les nerfs, l'autre était gentil et attentionné, prenant soin de moi dans tout les moments qui l'exigeaient. Je fronçais les sourcils, ma voie tremblante, et les lèvres frémissante sous l'effet de la colère.

J'avais éclater de rire, et il me rendit la pareille. Si vous saviez a quel point j'avais envie de lui en coller une. Je ne connaissais ce garçon que depuis une dizaine de minutes et déjà il me tapait sur les nerfs au plus haut point. Je lui aurais volontiers fait fermer sa bouche, mais je savais que c'était peine perdu, il était bien trop fort pour moi.

JAMES: SÉRIEUX, JE NE L'AI JAMAIS VU, PAR CONTRE, J'EN AI ENTENDU PARLER. JE SUIS SON COUSIN. ENFIN, LOGIQUE, PUISQUE TU M'AS PRIS POUR LUI ... AU FAIT, QU'AVAIS-TU DE SI IMPORTANT A LUI DIRE?

BELLA: EN LOUP TU LUI RESSEMBLE, EN CARACTÈRE PAS DU TOUT ESPECE D'ARROGANT. ET MONSIEUR LE CURIEUX, JE DOIS ME FAIRE PARDONNER PAR TON COUSIN DE LOUP POUR AVOIR SAUVER MON EX PETIT AMI DE VAMPIRE ET LUI DIRE QU'IL FAUT QUE JE CHOISISSE ENTRE EUX DEUX! BIEN QUE JE NE VOIS PAS BIEN EN QUOI ÇA TE CONCERNE!

Il commençait alors a tourner autour de moi comme un chien en cage. Je lui suivais des yeux, mais il me donner le tournis. Je le regardais en fronçant a nouveau les sourcils.

BELLA: EST CE QUE TU POURRAIS ARRÊTER ÇA S'IL TE PLAIT!

Mon ton relevait plus de l'ordre que de la demande polie mais ça m'était égale. Je plonger mes yeux marrons dans ses grands yeux noir, une lueur de colère dans le regard.

JAMES: MA MÈRE A DÉCIDE D'ABANDONNER LA PUSH QUANT J'ÉTAIS ENCORE ENFANT, P'TIT GOSSE AU SOURIRE D'UN CHAT TOUT MIGNON. J'AURAIS VOULU DIRE QUE JE NE ME SOUVIENS PAS DE LA RÉSERVE, QUE JE NE ME SOUVIENS PAS DU JOUR DE MON DÉPART, MAIS C'EST FAUX. JE ME SOUVIENS PARFAITEMENT MA MÈRE ME PRENANT PAR LE BRAS ET M'AMENANT DANS LA VOITURE ... POURQUOI JE TE DIS ÇA? J'EN SAIS RIEN. AH OUI, J'AVAIS ENVIE D'EN PARLER, ET, VOILA, C'EST FAIT.

Je lui fis alors un sourire, que j'espérais arrogant, bien que je n'étais pas douer pour ce genre de chose.

BELLA: ÉCOUTE JE SUIS VRAIMENT DÉSOLER QUE TU N'AIES PAS EU UNE ENFANCE FACILE. MAIS CE N'EST PAS UNE RAISON POUR ÊTRE UNE POURRITURE!

Je compris a cet instant que je n'aurais pas du lui dire que je n'avais pas peur de lui. Il enleva mon pull, je fermais les yeux, et il se transforma. Je reculais d'un pas, des frissons m'envahissant toute entière, et je regardais l'énorme loup roux qui me grognait dessus. Je reculais encore de plusieurs pas mais c'était trop tard. Il me sauta dessus, me projetant a terre. Mais je ne criais pas, ça lui aurait fait bien trop plaisir.

Je n'osais pas bouger. Au début ça avait été différent. Oui, si je ne bougeais pas c'était pour ne pas lui donner la satisfaction de m'avoir effrayer. Sauf que maintenant si je ne bougeais pas c'était parce que j'étais réellement effrayer. Le gros loup qui était sur moi avait des airs furieux. En plus le loup semblait prendre un malin plaisir a me taper sur les nerfs. Et on osait appeler ça les protecteur. Mes bras près de ma tête, et ses énormes pattes sur mes épaules, je ne pouvais bouger. En même temps, mes jambes furent pris de tremblement parce que j'étais terroriser. Il ne fallait pas non plus oublier que je suis une petite humaine sans défense. Il pourrait me tuer. Il lui suffirait d'un coup de dent.

Il ne bougeait pas, je ne bougeais pas. Ses yeux noirs me fixaient. J'avais un peu moins peur maintenant. Le temps passait. Des secondes, puis une minute. Puis, dans un mouvement lent il me roula sur le dos. J'avais soudain l'impression qu'il était un chien et moi un jouet. Enfin, un peu plus grand, mais c'était ça. Il était le loup et je venais de devenir le jouet du loup. Et en plus j'étais une petite fille. Oui, j'avais envie de pleurer comme une petite fille. Mais c'était encore une chose que je ne ferais pas. Il fallait que je me contrôle. Je ne pouvais pas lui donner une tel satisfaction. Il me retourna ainsi plusieurs fois de suite, puis se dégagea. Je poussais un soupir de soulagement avant de me relever.

JAMES: T'AS GAGNER,PETITE, J'AVOUE QU'UNE SIMPLE LOUP NE TE FAIS PAS PEUR!

BELLA: QUI A PEUR DU GRAND MÉCHANT LOUP?

Je toussais un peu, et secouait mes cheveux. Je devais avoir l'air d'une sauvageonne comme ça, avec des feuilles dans les cheveux. Je les enlevaient avec difficulté. Puis, James se tourna vers moi, je fermais donc les yeux. Qu'on ne vienne pas me traiter de perverse!

JAMES: DÉSOLÉ, PETITE, C'EST QUE T'ES UNE DES RARES FILLES QUI SE GÈNE DE ME VOIR NU ... JE NU SUIS PAS HABITUÉ, TU SAIS.

BELLA: ET BEN ... JE NE VEUX PAS QU'ON M'ACCUSE DE VOYEURISME ... ET PUIS SANS VOULOIR TE VEXER IL FAUT UNE PREMIÈRE FOIS A TOUT!

C'est alors qu'il s'approcha de moi pour me prendre dans ses bras. En règle général, je me serrais enfuis en courant. Mais là ... J'étais bien trop bouleverser pour résister. Je me laissais donc allez contre son torse brûlant. Je frissonnais.


JAMES: JE T'AI PAS TROP FAIT MAL? SI C'EST LE CAS, BAH ALORS EXCUSE-MOI. JE SUIS UN LOUP, TU SAIS. ET J'AI TENDANCE DE ME PERDRE PARFOIS ... JE VAIS TE REMMENER A LA MAISON.

BELLA: CE N'EST PAS GRAVE, JE N'AI QUE CE QUE JE MÉRITE APRÈS TOUT! NE T'EN FAIS PAS POUR MOI, JE RETROUVERAIS MON CHEMIN SEUL!